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samedi 26 février 2011

Quel spectacle de Gang!

Pendant que les spectateurs regardent ce qu’ils croient être le vrai spectacle vous, les acteurs, vous vous mêlez à eux. Cela, sans qu’ils ne le sachent. Vous regardez, vous aussi, le même spectacle... Mais aussi et surtout, celui que les spectateurs vous offrent.

Vous êtes là, au beau milieu de tout ce beau monde, à attendre qu’ils réagissent à votre mise en scène. Vous savez qu’ils ne savent pas que vous êtes à la fois acteurs et metteurs en scène. Et eux, se croient les vrais spectateurs d’un vrai spectacle alors qu’au fond, c’est vous qui devenez les vrais spectateurs de tout ce faux-semblant.

Mais que faites-vous, pendant que les autres regardent le faux spectacle? Vous les regardez. Oui, mais pas tant que cela. Vous vaquez plutôt à vos occupations habituelles. Vous vous occupez de leurs enfants. Pour les garder? Non, certainement pas. Vous êtes plutôt enclin à les regarder. Vous les étudiez, jour après jour. Vous les scrutez à la loupe pour savoir lesquels vont être les prochains. Vous les observez soit pour les recruter, soit pour les faire travailler. Mais, à quoi? À devenir acteurs, eux autres aussi. Tellement acteurs qu’ils vont devenir, premièrement marionnettes puis ensuite, acteurs et metteurs en scène. Cependant, ils resteront toujours, tout comme vous d’ailleurs, de simples marionnettes. Ça, vous le savez bien.


Et, pendant que leurs parents se la coulent douce en déversant leur haine, leur envie et leur jalousie sur leurs boucs émissaires, ou bien qu’ils laissent libre cours à leurs fantasmes les plus pervers; leurs enfants eux, sont la proie des vautours, en proie à l’esclavage. Toujours attachés par leurs fils, ils obéissent à ceux qui tiennent les rennes.


Mais eux, ces parents, ils ne voient que du feu, des feux d’artifices. Ils sont complètement omnibulés, mystifiés. Même assis à leur côtés, les enfants se taisent et font semblant d’aimer ces faux artifices... Mais, que peuvent-ils dire? Ils sont devenus des enfants marionnettes vivant dans le faux et le fourbe de peur de devenir des pantins brisés, relégués aux oubliettes ainsi que toute leur famille.


Mais, vous, les acteurs, vous l’êtes devenus aussi malgré vous. Et, vous perpétuez le contrat de l’arrière-scène ne sachant même pas qui est vraiment à l’origine de tout ce cirque, ni pourquoi vous devez le faire. Vous le faites, c’est tout. Vous essayez d’y prendre plaisir tout en gardant la cadence et en l’imposant aux autres, ces nouveaux.


On vous a dit toute sortes de choses pour vous donner des raisons, pour que vous vous donniez vous aussi des raisons de faire ce que vous faites. Mais, au fond, vous ne réfléchissez même plus tellement tout cela n’a pas de sens. Vous le faites, c’est tout. Puis, abrutis et automates, vous devenez.


Vous savez pourtant que tout cela ne sert vraiment juste la cause des propriétaires du cirque. De cette manière, vous, les acteurs deviendrez les prochains spectateurs qui regarderez ce que vous finirez par croire comme étant le vrai spectacle, celui des fautes d’artifices.Vous serez aussi omnibulés et mystifiés que les autres. À votre tour, vous déverserez votre haine sur les autres et fantasmerez de la même manière. Car, indéniablement, vous aurez oublié ce que c’est que de vivre autrement soit, de vivre tout simplement.


Pourtant, vous aviez tous des rêves. Vous aviez cru dans la vie et en l’avenir. Vous étiez pleins d’espoir. Et, pourtant, vous êtes encore pleins de talents. Vous transpirez l’envie de vivre et de réaliser des choses. Mais, vous êtes assombris. Tous! Même les plus vieux! Vous ne voyez même plus que le fait d’être acteurs ne fera pas de vous des épargnés de l’anti-vie. Vous n’êtes rien pour ces quelques uns qui veulent tout contrôler et se débarrasser des “restes” lorsque le spectacle sera fini.


Vous les jeunes, réagissez! Réagissez avant d’être complètement engloutis sous le gros chapiteau de ce cirque en train de tomber en miettes. Ces grosses poches vous méprisent depuis le début. Ils ne vous considèrent pas plus que tous les autres, ceux qui sont sous le rouleau compresseur, ces spectateurs qui vous sont donnés à farcir et à cuire.


Prenez cela comme vous le voulez, mais actuellement, une brèche est entrain de faire craquer ce système. Certains acteurs ont osé monter par dessus le chapiteau afin de tenter d’obtenir le plus grand auditoire possible. Ce faisant, ils ont eu l’occasion de voir bien plus loin que le seul cirque qui les abrite. Au loin, l’horizon leur a offert de voir la vie d’un autre oeil. Et, leur témérité a causé une faille. Et, ce système va craquer car ils ont montré aux grands agitateurs bien assis dans leur salon qu’ils ne peuvent plus tout contrôler d’un simple coup de manette.


Alors, qu’allez vous faire? Vous, les acteurs... Allez-vous saisir la chance qui vous est donnée? Nul ne le sait. Car déjà très endormis, vous êtes. L’espoir, vous l’avez perdu. Vous rêvez la vie au lieu de la vivre, sans même le savoir. Quel triste spectacle!


Mais non, heureusement, ce n’est pas la fin. C’est simplement le portrait de ce qui aura tendance à arriver si rien n’est entrepris. Ceux qui vous tiennent dans leurs filets le savent. La brèche n’est pas arrivée là par hasard. Croyez-le! Et surtout, voyez-le!


Au contraire, cette faille suscite une prise de décision. Oui, vous avez l’opportunité du choix. Qu’attendez-vous? On dirait que son sens ne vous dit plus rien tellement vous avez dit que vous ne l’aviez pas.


Une faille provoque pourtant nécessairement une transformation. Et, c’est le moment de briser sa coquille pour en sortir. C’est plein d’opportunités. Il vous faut les saisir si vous le ne voulez pas simplement subir le changement des autres. Elles sont à votre porte. Qu’attendez-vous ? Si vous ne les saisissez pas, quelqu’un d’autre le fera à votre place et vous imposera sa manière de voir les choses. Et, ce changement-là, ne sera pas lui non plus à votre niveau. Vous résisterez jusqu’à ce que vous n’en soyez plus capable. Et, le mouvement de l’autre vous engloutira. Alors... Que ferez-vous? Vous savez! Vous voyez! Vous êtes vraiment privilégiés. Qu’attendez-vous? Transformez ce défi en victoire. Vous en êtes capable!


Oui, c’est un processus. La nature est ainsi faite. Regardez les volcans, par exemple. Leur puissance est magistrale. Pourtant, il a fallu du temps pour en arriver là. C’est bien certain! Mais, le moment où il crache sa lave, c’est celui qui suit immédiatement la fissure, la brèche qui s’est installée. Pour qu’il éclate, il faut absolument crever l’abcès. Ne le voyez-vous pas?


Ouvrez-vous les yeux! C’est votre chance. Après, il sera trop tard. Le nouvel agencement se cristallisera. Et, il faudra encore beaucoup de temps avant qu’une nouvelle faille n’apparaisse. C’est donc maintenant ou jamais. Quelqu’un a dit une fois: “Avec la foi, on peut déplacer des montagnes”. Il suffit seulement d’y croire. Soyez sourd et imperméable à toute énergie contraire. Et, foncez!   

   
Foncez avant que l’injustice de la prétendue "vraie justice" ne vous entraîne à commettre, sous la contrainte ou non, de graves violations des droits de ces marionnettes innocentes et des délires majeurs, comme si la crème sur le gâteau prenait une tournure que vous n’aviez pas désiré. Enfin... vous pensiez que le dessert qui vous était réservé serait bien meilleur. On vous avait promis mer et monde. Puis finalement, c’est une mer de calamités dans laquelle vous nagez et que vous re-dirigez vers ces innocents parce que ses flux sont trop engloutissants.

Pendant ce temps, les vrais spectateurs de tout ce théâtre sont bien contents. Ils applaudissent. La destruction, c’est leur fantasme sous toute ses formes: celle des autres mais aussi, la vôtre. Et pendant que vous leur donnez en spectacle les spectateurs, eux sont assis à vos côtés, parmi vous et parmi ceux qui vous guident ce, sans que vous le sachiez vous aussi. Ils vous racontent n’importe quoi, rien que pour vous stimuler à jouer de votre pire théâtre. Ne les laissez pas faire. Réagissez!

Comme beaucoup de personnes vous vous prêtez volontiers à tous ces jeux de l’ombre. Puis ceux-ci se font insistants et incessants. Et, vous finissez par préférer déverser vos manques d’amour sur ces pauvres marionnettes fragilisées par la vie des racoins isolés du grand chapiteau.

Pourtant,  ces pantins sont aussi un peu les vôtres. Alors, pour eux, pour vous et pour tous les autres, donnez donc le meilleur de vous même! C’est ainsi que la vie pourra relever son goût alors qu’elle a perdu de sa saveur. Si vous aimez ce que vous faites, tout le monde aimera ce que vous avez fait. Bon spectacle!

France Quenneville, 08 novembre, 2010.

Liens:
http://francequenneville.blogspot.com/2010/11/le-gang-stalking-action-citoyenne.html 
http://francequenneville.blogspot.com/2010/12/les-super-heros-du-tortureware_17.html 
http://francequenneville.blogspot.com/2010/12/enfant-du-ruban-indigo.html 
http://francequenneville.blogspot.com/2010/10/une-business-lucrative-pour-les-gangs.html 
http://francequenneville.blogspot.com/2010/12/gangs-de-rue-et-individus-cibles.html 
http://francequenneville.blogspot.com/2010/12/les-criminels-du-gang-stalking.html 
http://francequenneville.blogspot.com/2010/11/linjustice-de-la-vraie-justice.html 
http://francequenneville.blogspot.com/2010/07/en-chsld-harcelee-jusqua-son-dernier.html 
Témoignage:
http://francequenneville.blogspot.com/2010/11/diffamation-extreme.html
Assassin-esclave 2000
 http://www.youtube.com/watch?v=OjBqo2PJmok

dimanche 20 février 2011

La dérive

Se retrouver seule dans une barque de fortune... Dériver sans but et au hasard au beau milieu d’un océan de calamités. Être ballottée au gré des vents pervers et des courants calomnieux tout en étant la risée des envieux et des mesquins. Cela, sans possibilité d’attendre de secours de l’extérieur. Parce que la dérive, ça ne se voit pas de la rive. 

Partir aussi loin n’était pas au programme. On est à une trop grande distance des mondes connus. Les autres ne peuvent pas comprendre dans quel monde on se trouve. Trop loin de la conscience du monde, trop loin dans la conscience de ces mondes secrets pour que les autres y voient toute cette eau lourde de malice.

Un grand déploiement d’énergie est déployé pendant que ceux qu’on aime s’épuisent, qu’ils perdent peu à peu leur capacité de soutien, leur foi s’usant. Voir ainsi sa propre réserve d’énergie diminuer à force de brandir son appel, à force d’incompréhension.

L’idée d’un naufrage possible sans que personne n’y ait rien compris parce que cette lame de fond, qui fait chavirer, est constituée de milliards de petites gouttes en apparence anodines. Et, parce que les non-initiés ne savent boire qu’au compte-gouttes tandis que les pervers assoiffés avalent ou crachent à grands coups leur poison.

Ce naufrage induit si insidieusement...est une vraie source d’inquiétude pour la victime. Elle demeure seul maître à bord. Son équipage étant resté dans son monde rempli d’illusions. Il n’a jamais quitté le port. Ainsi, il demeure inconscient de l’immensité de l’océan.

Intangible, ce risque. Invisible, ce mal. Majeur, cet état de siège. La vie, ainsi, peut vite se transformer en enfer. Une hantise de perdre ceux qu’on aime émerge, une hantise de perdre sa vie, totalement. Souvent, on pense plus à eux qu’à soi-même. Mais, il faut se retrouver.

C’est pour réduire à néant ces craintes que j’ai sérieusement réfléchi. C’est parce que je traverse chaque jour cet océan de violence cachée que j’ai choisi de continuer envers et contre tout. Je l’ai choisi afin de lancer mon cri à toute la terre. Chaque jour, je choisis la vie.  Dans cette mer, j’ai trouvé une mission à remplir, celle de faire connaître à ceux qui peuvent  lentendre l’existence de ces eaux dangereusement troubles. Ainsi, j’inspire la souffrance de toutes les victimes que la mer trimbale encore ou celles qu’elle a déjà emporté. Puis... j’expire, en communion avec elles, la paix et la liberté pour toutes.


France Quenneville

Sujet: Gang Stalking

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