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lundi 31 août 2015

Torture électronique: L’énorme rayon laser

Torture électronique: L’énorme rayon laser

17 février 2012: 1h30

France est assise à la cuisine après s’être réveillée en catastrophe. Elle écrit ce qui vient de se passer ainsi que son dialogue avec l’imposteur du Voice-to-Skull.

Elle écrit:

Torture passive ou automatisée
CEM  très fort
Hautes tensions à  70,000 volts
Scanner sous moi et en arrière de moi
Micro-ondes en diffusion sous moi
Micro-ondes en diffusion à l’intérieur de moi
Laser en diffusion sous moi
Torture active
Empalage au gros rayon laser et micro-ondes via le vagin
Empalage au rayons laser dans la tête
Empalage inter-discal dans la colonne au laser
Filons électriques injectés partout avec les rayons laser
Énorme rayon laser (50cm de diamètre) dirigé sur moi
Ajouts d’aiguilles piquantes (corps rempli depuis la veille)

Dialogue

L’imposteur -  On essaie de te désintégrer les organes génitaux. Michel m’a dit de ne pas te dire ce qu’on fait.

L’imposteur - On t’a mis avant des filons électriques un peu partout.

L’imposteur - On veut te faire le plus de mal possible parce que t’es une pédophile!

C’était une projection de ce pédophile qui l’avait violée jeune enfant à son insu parce qu’il l’avait hypnotisée. Ensuite, il employait ce rituel à chaque fois qu’il voulait satisfaire ses fantasmes sexuels en l’utilisant à son insu.

Il a essayé de me faire croire que c’était René qui voulait me rentrer l’énorme rayon laser via le vagin pour me désintégrer l’intérieur du corps. Ils me l’ont mis sur le bas du dos pour me désintégrer la colonne lombaire.

L’imposteur - On veut te désintégrer les reins pour que  tu meurs intoxiquée.

L’imposteur - On veut pas te faire ça. C’est Gaston (Gaétan) qui veut le faire lui-même parce qu’on ne veut pas le faire.

France - Non! Vous êtes tous des gars armés. Et, vous le laissez faire... C’est que ça fait votre affaire!

Partout où il y avait des filons électriques, ça lui faisait très mal. Ça lui brûlait fortement et elle prenait des chocs électriques. Elle avait très mal au dos en même temps qu’elle ressentait une pression d’environ 40 cm de diamètres lui pousser dans les reins. Elle ressentait aussi une douleur et une pression dans le vagin. C’était un autre  gros rayon qui l’empalait dans cette région. Elle en avait la nausée. Et, ça l’avait réveillé en même temps que toutes les autres douleurs. Elle s’était endormie tout de suite après s’être couchée parce que l’imposteur l’avait hypnotisée,COMME d’habitude, avant qu’ils se mettent à la torturer.

Ils étaient au moins 4 gars du côté ouest incluant l’imposteur. Du côté nord, de l’autre côté du mur, il semble que c’était Gaston qui manipulait l’énorme laser pour désintégrer France. Il était accompagné de Marie.  Et, ils regardaient tous le spectacle sur leur écran d’ordinateur n’ayant jamais levé le petit doigt pour lui venir en aide. C’était l’imposteur qui avait commandé ces sévices afin de satisfaire ses fantasmes pervers sadiques de psychopathe, obsédé sexuel et pédophile en administrant cette torture à France.

L’imposteur - On t’a défoncé le vagin avant-hier avec l’énorme rayon laser pour aller te désintégrer l’utérus.

L’imposteur (parlant de Michel) - Il capote, France...

France - Non! Je n’accepte pas ça. Je n’accepte aucun «Je capote!» parce que vous êtes tous là à regarder le spectacle comme une gang de sadiques.

L’imposteur (feignant les remords) - Qu’est-ce qu’on a été faire là!...

L’imposteur (parlant de Gaston) - Il est en train de t’enlever tout l’intérieur de ton ventre...

France (en colère) - Est-ce que j’ai oublié d’écrire quelque chose?

L’imposteur (à voix basse) - Oui, tu as oublié ce qu’on t’as fait la nuit dernière. C’est un gros trou France. Il t’avais mis quelque chose pour boucher ça. Ça coule tout le temps... On t’a pas mis un bouchon parce que ça coulait mais pour ne pas que quelque chose entre dedans... Il est malade, Gaston!

France (toujours fâchée) - Pas juste Gaston! Vous, vous êtes là et vous ne faites rien!

René (gêné) - Tabarbac, France... J’ai honte...

Puis, tout-à-coup, France ressentait la pression et la douleur d’un petit rayon rentrer dans son rectum.

France - Et, puis! C’est qui qui me rentre ça là? En ce moment?

L’imposteur (gêné) - J’ai honte, France. Moi aussi, j’ai honte.

France (exaspérée) - Non! Je n’accepte pas vos «J’ai honte». Vous êtes toujours là en train de regarder le spectacle! Gang de pervers!

L’imposteur (à voix basse)- Michel dit que tu n’as pas parlé de lui. Il capote! Il veut que tu le saches. Je te le dis même si Gaston ne veut pas que je le dise. Je ne veux pas qu’il me fasse mal parce que je te l’ai dit. Il a dit que si on le disait, il nous ferait...

France - Non! C’est pas à moi qu’il faut le dire. C’est à la police ou aux anges de l’enfer pour qu’ils l’arrêtent et que vous arrêtiez.

L’imposteur - France, ça n’a pas d’allure, C,est pour ça qu’on a décharné les muscles l’intérieur de tes fesses. On voulait te rentrer ct’estie de gros rayon là.

Michel (voix au loin) - Pas juste ça! C’est pour ça qu’on t’a gonflé le ventre au laser pis que t’avais mal. On te l’a décharné. C’était pour ça!

L’imposteur (répétant ce que Michel venait de dire) - Pas juste ça! C’est pour ça qu’on t’a gonflé le ventre au laser pis que t’avais mal. On te l’a décharné. C’était pour ça!

L’imposteur (piteux) - J’en reviens pas, c’est moé qui l’a commandé.

France (fachée) - C’est surtout toi qui l’a laissé faire en même temps que tous les autres.

L’imposteur ( ) - France, c’est pour ça que je ne voulais pas que tu ailles te coucher...

France (lui coupant la parole) - Non! Menteur! Pourquoi tu m’as hypnotisées, d’abord?

L’imposteur (calmement) - Parce que j’avais peur de lui... Pas d’allure! Je voulais pas qu’il me fasse des affaires comme à toé.

France (très en colère) - Combien vous êtes, vous autres? Vous êtes tous armés jusqu’aux dents...pis lui, c’est un gros pervers alcoolique. Qu’est-ce que vous attendez pour le neutraliser, ce fou-là. Pourquoi vous lui faites pas ce que vous me faites à moi? Hein? Vous êtes rien qu’une gang de pervers vous autres aussi. Vous vous délectez! Vous jouissez! Vous espériez me voir jouir avec cet énorme rayon que vous fantasmiez être votre pénis en format géant... Rien qu’une gang de pervers!

L’imposteur (froidement) - C’est vrai que c’est ça, France.

L’imposteur (froidement) - Michel...c’est vrai qu’il capote, France. Il est parti manger pis...

France (stupéfaite) - Parti manger!!!

René (feignant les remords)- J’en reviens pas, France.

France - Ah, oui?

René (calmement, feignant les remords) - J’en reviens pas, France. J’en reviens pas que j’ai rien fait, France.

France - Ah, oui? «J’en reviens pas...» T’en reviens pas t’avoir rien fait... Pis, t’es encore là... Comment ça se fait que tu ne fais encore rien? Hein?

René (feignant les remords) - J’en reviens pas qu’est-ce qu’on lui fait, cette fille-là?
L’imposteur (d’une voix basse) - On est à bout, France. Pis, c’est moi qui avait commandé ça...

France (fachée et se moquant) - On est à bout?... Ah, oui. C’est ça! On s’est rendu jusqu’au bout, là on est fatigué... Est-ce que tu t’es masturbé la-dessus? T’as dû jouir toute la semaine, en plus?

L’imposteur - Oui. C’est vrai que je l’ai fait en pensant à ça.

Michel (voix au loin) - En plus, il dit ça, lui.

En ces temps, on entendais un bruit de fond de moteur en marche. Puis, les hautes tensions envahissaient France tel un étau d’électricité. Elle avait mal à la tête et son corps ondulait de  nausées qui allaient et venaient. Des portions de froid incluant des aiguilles piquantes revolaient sur France. C’était Marie qui enduisait son corps d’aiguilles piquantes. Celui-ci en était déjà plein, surtout aux organes génitaux.

Etc. Etc.

France Quenneville, 17 février 2012.