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samedi 27 avril 2013

Le ventriloque ou V...

Il est six heures du matin, il vient d’ajouter les micro-ondes à basses et hyperfréquences automatisées pour brûler le tout, pour me faire très mal. Il le disait sur un ton lent et très sadique: “Je veux qu’elle souffre! Je veux qu’elle souffre beaucoup, qu’elle aie mal, très mal.

“Son complice métis essayait de le couvrir en feignant que c’était lui qui venait de démarrer ces dispositifs. Mais, finalement, en écoutant et visualisant ma réaction en télépathie synthétique, il s’exclamait par la voix du Voice–to-skull: “Elle sait que c’est toi! Elle sait que c’est toi”. Puis affolé, il ajouta: “Elle va se lever!” C’est ce que j’ai fait. Et, le nez me picottait douloureusement parce qu’ils tentaient de m’hypnotiser pour me rendormir et m’immobiliser. Je suis donc venue écrire ces quelques lignes, ne pouvant plus dormir ni rester sans rien faire. Alors que les trous au laser qu’ils m’avaient fait précédemment dans le corps laissaient pénétrer profondément les micro-ondes qui me brûlaient vivement et me faisaient très mal. Cela, en plus de tout le reste.

Pendant la nuit, ils m’ont brûlé au laser très fort le milieu du tronc de haut en bas et toute la jambe gauche. En plus, ils dirigeaient dans l’air ambiant, sous moi et en moi, celles qui sont automatisées. Et, le ventriloque répétait la même chose. Lorsque son complice lui demandait pourquoi il faisait cela, insinuant que lui ne faisait rien, ce psychopathe commençait à me traiter de pédophile mais terminait sa phrase en disant que c’était plutôt lui, le pédophile. Et, du coup, le prétexte de ce sadique ps’évanouissait. Il n’avait d’autre raison pour me faire du mal que son propre fantasme pervers de destruction sadique. Il avait dit qu’il ne voulait plus que je danse, pensant à ma pratique de musique du soir.  Quelques musiciens et moi nous nous rencontrons chaque samedi pour jammer un peu. Mais, auparavant, les filles sachant que j’ai dansé dans les ballets folfloriques boliviens  pendant une dizaine d’année avant mon operation, me demandent de leur montrer des pas  de danse bolivienne afin de s’échauffer un peu avant de jouer la musique. Et, cela le rend fou de jalousie. Il ne veut pas que les gens sachent que j’étais une excellente danseuse parce qu’il leur a fait croire à l’extrême oppose de tout ce que je suis. Il a même dit que je ne dansait pas dans les troupes que je fréquentais , que j’y allais seulement pour trouver des gars pour coucher. Il a fait croire que j’étais une nymphonane, une putain, etc. Les troupes de danse auxquelles j’ai fait partie, étaient composées presqu’uniquement de filles. Lorsqu’il y avait des gars, ils  s’ajoutaient vers la fin, peu de temps avant le spectacle qui allait avoir lieu.

(Pendant que j’écrivais, et que j’étais assise tranquille devant mon ordinateur, il ne pouvait pas s’empêcher de me rentrer son rayon de micro-ondes d’environ 10cm de diamètre dans le vagin pour encore me brûler les organes génitaux et avoir une porte d’entrée pour me brûler l’intérieur du corps).

Copyright, France Quenneville.

P.S. Le ventriloque,  hacker a enlevé des mots et des phrases que j’avais écrites.




Roman ( Thriller) Par France Quenneville , Samedi le 27 avril 2013

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