Il est
six heures du matin, il vient d’ajouter les micro-ondes à basses et hyperfréquences automatisées pour brûler le tout, pour me faire très mal. Il le
disait sur un ton lent et très sadique: “Je veux qu’elle souffre! Je veux
qu’elle souffre beaucoup, qu’elle aie mal, très mal.
“Son
complice métis essayait de le couvrir en feignant que c’était lui qui venait de
démarrer ces dispositifs. Mais, finalement, en écoutant et visualisant ma réaction
en télépathie synthétique, il s’exclamait par la voix du Voice–to-skull: “Elle
sait que c’est toi! Elle sait que c’est toi”. Puis affolé, il ajouta: “Elle va
se lever!” C’est ce que j’ai fait. Et, le nez me picottait douloureusement parce
qu’ils tentaient de m’hypnotiser pour me rendormir et m’immobiliser. Je suis donc
venue écrire ces quelques lignes, ne pouvant plus dormir ni rester sans rien
faire. Alors que les trous au laser qu’ils m’avaient fait précédemment dans le
corps laissaient pénétrer profondément les micro-ondes qui me brûlaient
vivement et me faisaient très mal. Cela, en plus de tout le reste.
Pendant
la nuit, ils m’ont brûlé au laser très fort le milieu du tronc de haut en bas
et toute la jambe gauche. En plus, ils dirigeaient dans l’air ambiant, sous moi
et en moi, celles qui sont automatisées. Et, le ventriloque répétait la même
chose. Lorsque son complice lui demandait pourquoi il faisait cela, insinuant
que lui ne faisait rien, ce psychopathe commençait à me traiter de pédophile
mais terminait sa phrase en disant que c’était plutôt lui, le pédophile. Et, du
coup, le prétexte de ce sadique ps’évanouissait. Il n’avait d’autre raison pour
me faire du mal que son propre fantasme pervers de destruction sadique. Il
avait dit qu’il ne voulait plus que je danse, pensant à ma pratique de musique
du soir. Quelques musiciens et moi
nous nous rencontrons chaque samedi pour jammer un peu. Mais, auparavant, les
filles sachant que j’ai dansé dans les ballets folfloriques boliviens pendant une dizaine d’année avant mon
operation, me demandent de leur montrer des pas de danse bolivienne afin de s’échauffer un peu avant de
jouer la musique. Et, cela le rend fou de jalousie. Il ne veut pas que les gens
sachent que j’étais une excellente danseuse parce qu’il leur a fait croire à
l’extrême oppose de tout ce que je suis. Il a même dit que je ne dansait pas
dans les troupes que je fréquentais , que j’y allais seulement pour trouver des
gars pour coucher. Il a fait croire que j’étais une nymphonane, une putain,
etc. Les troupes de danse auxquelles j’ai fait partie, étaient composées
presqu’uniquement de filles. Lorsqu’il y avait des gars, ils s’ajoutaient vers la fin, peu de temps
avant le spectacle qui allait avoir lieu.
(Pendant
que j’écrivais, et que j’étais assise tranquille devant mon ordinateur, il ne
pouvait pas s’empêcher de me rentrer son rayon de micro-ondes d’environ 10cm de
diamètre dans le vagin pour encore me brûler les organes génitaux et avoir une
porte d’entrée pour me brûler l’intérieur du corps).
Copyright, France Quenneville.
P.S. Le ventriloque, hacker a enlevé des mots et des phrases que j’avais écrites.
Roman ( Thriller) Par France Quenneville , Samedi le 27 avril 2013