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mardi 16 février 2016

Morv de Fru et les Mecs Coquettes

 par Bafouée, le 1er décembre 2014.
Personnages:
Morve de Fru  est un ventriloque de l’âge des retraités, qui ne vit que d’activités illicites, principalement du Gang Stalking, Mind Control, harcèlement et torture électronique cela,  depuis son enfance. Il porte toujours un pantalon noir et des souliers lacés de style classique. N’ayant aucune couverture, il tente de se faire passer un artiste, un professeur de français, etc.
Chin gaz Gook est son inséparable homonyme, qui est sorti tout droit de sa ferme adoptive avec une coupe Mohawk rempli de fantasmes à propos de Kateri Tekakwita. Il cherche toujours les portes d’entrée de son statut social et spirituel avec une morvide cavitude.
Bafouée est  leur victime depuis qu’elle a 3 ans. Elle est  devenue maintenant une femme dans la cinquantaine qui a eu des enfants. Elle subit, sans aucun moyen de défense, tous les sévices que Morv de Fru veut lui infliger  lui-même ou par le biais d’autres bourreaux au moyen d’armes secrètes invisibles qui passent à travers les murs.
Résumé
Les deux morveux frustrés possédant déjà le statut d’ «Anges de l’enfer » font tout pour attirer l’enfer à eux le plus vite possible. Pour ce faire, ils font même des incantations au diable pour ensuite brûler les petits papiers sur lesquels elles ont été écrites. Et, pour amplifier le processus, en guise d’affirmation, ils se répètent, sous forme de mantras, qu’ils sont des « Hells Angels ». Ceci, bien sûr, tout en se croyant bénis des Dieux tout en pensant que l’enfer c’est pour les autres.  Pendant qu’ils font leurs voyeurisme multi-sensoriel, ils sont branchés  à des électrodes qui perçoivent toutes les sensations de leur victime principale, Bafouée. Ses bourreaux voient ce que les yeux de Bafouée voient, les odeurs qu’ils sentent sont les sienne, ce qu’elle goûte est ce qu’ils goûtent,  ce qu’elle entend  et ressent est ce qu’ils entendent et ressentent. Et, parmi leurs multiples fantasmes, il y a celui des «Mecs Coquettes», c’est-à-dire celui de s’approprier de toutes les coquetteries possibles et imaginables de Bafouée ou au pire, les détruire, s’ils ne les aiment pas.

·      Morv de Fru a l’habitude de voler des serviettes sanitaires à Bafouée. Mais, cette fois, il en a échangé certaines contre d’autres qui avaient des ailes. Bafouée n’aime pas celles-là et il le sait. Il semble bien que Morv de Fru, non plus. Il semble que ce geste avait une signification particulière. Pour lui, cela représentait sa carte de visite qu’il pouvait laisser en tant qu’adepte de « L’enfer, c’est pour les autres! ». Et, bien entendu, tout ce qu’il fait, il le fait au nom des Hells. Mais, au fond, il voulait seulement essayer cette nouvelle marque de Kotex qu’elle venait d’acheter, tout comme il fait pour toutes ses coquetteries. Il les dérobe aussitôt achetées et ce, avant même qu’elle ait eu le temps de les essayer. S’il ne les aime pas, il les brise juste avant qu’elle s’en serve. Ces « Kotex » devaient manquer à sa collection. Ce qui est certain, c’est qu’il n’avait jamais porté celles-là devant son inséparable homonyme, Chin Gaz Cook. Avec lui, ça gaz tout le temps… Dans les petites culottes de Bafouée.

·      Et, comme d’habitude, ils n’oublient pas de faire de la « Fiff-à-mation » et du commérage à son sujet pour la discréditer comme le font de bonnes vieilles commères.

·      À la mi-novembre, comme à tous les jours, il est allé déposer des mauvaises odeurs dans les petites culottes de Bafouée grâce à ses rayons invisibles. Il espérait ainsi simuler ou plutôt reconstituer les odeurs que l’on trouverait, selon son fantasme de fabuleux, chez une femme qui ne se lave pas. Ceci, parce qu’il tente par tous les moyens de se « sentir » la femme qu’il n’a jamais pu être. Et, pour ce faire, il n’oublie pas de placer les électrodes à sensations sur sa tête alors qu’il est devant son logiciel « TortureWare » pour arriver à ressentir « la femme sale » de ses rêves, en la personne de sa victime, Bafouée. Mais, malheureusement pour lui, les odeurs ne correspondent pas et il peut les « sniffer » à chaque fois qu’elle enlève sa petite culotte, comme lorsqu’elle va à la toilette. Son expérience pour satisfaire son fantasme d’être une femme complète et totale est ratée. S’il s’en met sur lui, il puera le « je ne sais quoi », et surtout pas la femme sale de ses rêves. Les produits de simulations d’odeur ou de goût, vendus en complément des armes à énergie dirigée, ne sont pas encore au point. Alors…raté! Meilleure chance la prochaine fois! Morv de Fru est encore frustré!


  • ·      Régulièrement, il pique les bobettes de bafouée dans son panier à linge sale. À croire qu’il a besoin de sniffer son odeur pour continuer son petit manège d’obsédé.

  • ·      Il a piqué aussi en janvier 2015, son fer à friser. Ceci, juste avant la soirée organisée pour son anniversaire. D’habitude, il se contente d’aplatir son toupet sachant qu’elle le porte ondulé et un peu surélevé.

  • ·      Vols réguliers de DESSOUS FÉMININS et autres coquetteries  utilisées quotidiennement par Bafouée.
·       

lundi 31 août 2015

Torture électronique: L’énorme rayon laser

Torture électronique: L’énorme rayon laser

17 février 2012: 1h30

France est assise à la cuisine après s’être réveillée en catastrophe. Elle écrit ce qui vient de se passer ainsi que son dialogue avec l’imposteur du Voice-to-Skull.

Elle écrit:

Torture passive ou automatisée
CEM  très fort
Hautes tensions à  70,000 volts
Scanner sous moi et en arrière de moi
Micro-ondes en diffusion sous moi
Micro-ondes en diffusion à l’intérieur de moi
Laser en diffusion sous moi
Torture active
Empalage au gros rayon laser et micro-ondes via le vagin
Empalage au rayons laser dans la tête
Empalage inter-discal dans la colonne au laser
Filons électriques injectés partout avec les rayons laser
Énorme rayon laser (50cm de diamètre) dirigé sur moi
Ajouts d’aiguilles piquantes (corps rempli depuis la veille)

Dialogue

L’imposteur -  On essaie de te désintégrer les organes génitaux. Michel m’a dit de ne pas te dire ce qu’on fait.

L’imposteur - On t’a mis avant des filons électriques un peu partout.

L’imposteur - On veut te faire le plus de mal possible parce que t’es une pédophile!

C’était une projection de ce pédophile qui l’avait violée jeune enfant à son insu parce qu’il l’avait hypnotisée. Ensuite, il employait ce rituel à chaque fois qu’il voulait satisfaire ses fantasmes sexuels en l’utilisant à son insu.

Il a essayé de me faire croire que c’était René qui voulait me rentrer l’énorme rayon laser via le vagin pour me désintégrer l’intérieur du corps. Ils me l’ont mis sur le bas du dos pour me désintégrer la colonne lombaire.

L’imposteur - On veut te désintégrer les reins pour que  tu meurs intoxiquée.

L’imposteur - On veut pas te faire ça. C’est Gaston (Gaétan) qui veut le faire lui-même parce qu’on ne veut pas le faire.

France - Non! Vous êtes tous des gars armés. Et, vous le laissez faire... C’est que ça fait votre affaire!

Partout où il y avait des filons électriques, ça lui faisait très mal. Ça lui brûlait fortement et elle prenait des chocs électriques. Elle avait très mal au dos en même temps qu’elle ressentait une pression d’environ 40 cm de diamètres lui pousser dans les reins. Elle ressentait aussi une douleur et une pression dans le vagin. C’était un autre  gros rayon qui l’empalait dans cette région. Elle en avait la nausée. Et, ça l’avait réveillé en même temps que toutes les autres douleurs. Elle s’était endormie tout de suite après s’être couchée parce que l’imposteur l’avait hypnotisée,COMME d’habitude, avant qu’ils se mettent à la torturer.

Ils étaient au moins 4 gars du côté ouest incluant l’imposteur. Du côté nord, de l’autre côté du mur, il semble que c’était Gaston qui manipulait l’énorme laser pour désintégrer France. Il était accompagné de Marie.  Et, ils regardaient tous le spectacle sur leur écran d’ordinateur n’ayant jamais levé le petit doigt pour lui venir en aide. C’était l’imposteur qui avait commandé ces sévices afin de satisfaire ses fantasmes pervers sadiques de psychopathe, obsédé sexuel et pédophile en administrant cette torture à France.

L’imposteur - On t’a défoncé le vagin avant-hier avec l’énorme rayon laser pour aller te désintégrer l’utérus.

L’imposteur (parlant de Michel) - Il capote, France...

France - Non! Je n’accepte pas ça. Je n’accepte aucun «Je capote!» parce que vous êtes tous là à regarder le spectacle comme une gang de sadiques.

L’imposteur (feignant les remords) - Qu’est-ce qu’on a été faire là!...

L’imposteur (parlant de Gaston) - Il est en train de t’enlever tout l’intérieur de ton ventre...

France (en colère) - Est-ce que j’ai oublié d’écrire quelque chose?

L’imposteur (à voix basse) - Oui, tu as oublié ce qu’on t’as fait la nuit dernière. C’est un gros trou France. Il t’avais mis quelque chose pour boucher ça. Ça coule tout le temps... On t’a pas mis un bouchon parce que ça coulait mais pour ne pas que quelque chose entre dedans... Il est malade, Gaston!

France (toujours fâchée) - Pas juste Gaston! Vous, vous êtes là et vous ne faites rien!

René (gêné) - Tabarbac, France... J’ai honte...

Puis, tout-à-coup, France ressentait la pression et la douleur d’un petit rayon rentrer dans son rectum.

France - Et, puis! C’est qui qui me rentre ça là? En ce moment?

L’imposteur (gêné) - J’ai honte, France. Moi aussi, j’ai honte.

France (exaspérée) - Non! Je n’accepte pas vos «J’ai honte». Vous êtes toujours là en train de regarder le spectacle! Gang de pervers!

L’imposteur (à voix basse)- Michel dit que tu n’as pas parlé de lui. Il capote! Il veut que tu le saches. Je te le dis même si Gaston ne veut pas que je le dise. Je ne veux pas qu’il me fasse mal parce que je te l’ai dit. Il a dit que si on le disait, il nous ferait...

France - Non! C’est pas à moi qu’il faut le dire. C’est à la police ou aux anges de l’enfer pour qu’ils l’arrêtent et que vous arrêtiez.

L’imposteur - France, ça n’a pas d’allure, C,est pour ça qu’on a décharné les muscles l’intérieur de tes fesses. On voulait te rentrer ct’estie de gros rayon là.

Michel (voix au loin) - Pas juste ça! C’est pour ça qu’on t’a gonflé le ventre au laser pis que t’avais mal. On te l’a décharné. C’était pour ça!

L’imposteur (répétant ce que Michel venait de dire) - Pas juste ça! C’est pour ça qu’on t’a gonflé le ventre au laser pis que t’avais mal. On te l’a décharné. C’était pour ça!

L’imposteur (piteux) - J’en reviens pas, c’est moé qui l’a commandé.

France (fachée) - C’est surtout toi qui l’a laissé faire en même temps que tous les autres.

L’imposteur ( ) - France, c’est pour ça que je ne voulais pas que tu ailles te coucher...

France (lui coupant la parole) - Non! Menteur! Pourquoi tu m’as hypnotisées, d’abord?

L’imposteur (calmement) - Parce que j’avais peur de lui... Pas d’allure! Je voulais pas qu’il me fasse des affaires comme à toé.

France (très en colère) - Combien vous êtes, vous autres? Vous êtes tous armés jusqu’aux dents...pis lui, c’est un gros pervers alcoolique. Qu’est-ce que vous attendez pour le neutraliser, ce fou-là. Pourquoi vous lui faites pas ce que vous me faites à moi? Hein? Vous êtes rien qu’une gang de pervers vous autres aussi. Vous vous délectez! Vous jouissez! Vous espériez me voir jouir avec cet énorme rayon que vous fantasmiez être votre pénis en format géant... Rien qu’une gang de pervers!

L’imposteur (froidement) - C’est vrai que c’est ça, France.

L’imposteur (froidement) - Michel...c’est vrai qu’il capote, France. Il est parti manger pis...

France (stupéfaite) - Parti manger!!!

René (feignant les remords)- J’en reviens pas, France.

France - Ah, oui?

René (calmement, feignant les remords) - J’en reviens pas, France. J’en reviens pas que j’ai rien fait, France.

France - Ah, oui? «J’en reviens pas...» T’en reviens pas t’avoir rien fait... Pis, t’es encore là... Comment ça se fait que tu ne fais encore rien? Hein?

René (feignant les remords) - J’en reviens pas qu’est-ce qu’on lui fait, cette fille-là?
L’imposteur (d’une voix basse) - On est à bout, France. Pis, c’est moi qui avait commandé ça...

France (fachée et se moquant) - On est à bout?... Ah, oui. C’est ça! On s’est rendu jusqu’au bout, là on est fatigué... Est-ce que tu t’es masturbé la-dessus? T’as dû jouir toute la semaine, en plus?

L’imposteur - Oui. C’est vrai que je l’ai fait en pensant à ça.

Michel (voix au loin) - En plus, il dit ça, lui.

En ces temps, on entendais un bruit de fond de moteur en marche. Puis, les hautes tensions envahissaient France tel un étau d’électricité. Elle avait mal à la tête et son corps ondulait de  nausées qui allaient et venaient. Des portions de froid incluant des aiguilles piquantes revolaient sur France. C’était Marie qui enduisait son corps d’aiguilles piquantes. Celui-ci en était déjà plein, surtout aux organes génitaux.

Etc. Etc.

France Quenneville, 17 février 2012.

samedi 27 avril 2013

Le ventriloque ou V...

Il est six heures du matin, il vient d’ajouter les micro-ondes à basses et hyperfréquences automatisées pour brûler le tout, pour me faire très mal. Il le disait sur un ton lent et très sadique: “Je veux qu’elle souffre! Je veux qu’elle souffre beaucoup, qu’elle aie mal, très mal.

“Son complice métis essayait de le couvrir en feignant que c’était lui qui venait de démarrer ces dispositifs. Mais, finalement, en écoutant et visualisant ma réaction en télépathie synthétique, il s’exclamait par la voix du Voice–to-skull: “Elle sait que c’est toi! Elle sait que c’est toi”. Puis affolé, il ajouta: “Elle va se lever!” C’est ce que j’ai fait. Et, le nez me picottait douloureusement parce qu’ils tentaient de m’hypnotiser pour me rendormir et m’immobiliser. Je suis donc venue écrire ces quelques lignes, ne pouvant plus dormir ni rester sans rien faire. Alors que les trous au laser qu’ils m’avaient fait précédemment dans le corps laissaient pénétrer profondément les micro-ondes qui me brûlaient vivement et me faisaient très mal. Cela, en plus de tout le reste.

Pendant la nuit, ils m’ont brûlé au laser très fort le milieu du tronc de haut en bas et toute la jambe gauche. En plus, ils dirigeaient dans l’air ambiant, sous moi et en moi, celles qui sont automatisées. Et, le ventriloque répétait la même chose. Lorsque son complice lui demandait pourquoi il faisait cela, insinuant que lui ne faisait rien, ce psychopathe commençait à me traiter de pédophile mais terminait sa phrase en disant que c’était plutôt lui, le pédophile. Et, du coup, le prétexte de ce sadique ps’évanouissait. Il n’avait d’autre raison pour me faire du mal que son propre fantasme pervers de destruction sadique. Il avait dit qu’il ne voulait plus que je danse, pensant à ma pratique de musique du soir.  Quelques musiciens et moi nous nous rencontrons chaque samedi pour jammer un peu. Mais, auparavant, les filles sachant que j’ai dansé dans les ballets folfloriques boliviens  pendant une dizaine d’année avant mon operation, me demandent de leur montrer des pas  de danse bolivienne afin de s’échauffer un peu avant de jouer la musique. Et, cela le rend fou de jalousie. Il ne veut pas que les gens sachent que j’étais une excellente danseuse parce qu’il leur a fait croire à l’extrême oppose de tout ce que je suis. Il a même dit que je ne dansait pas dans les troupes que je fréquentais , que j’y allais seulement pour trouver des gars pour coucher. Il a fait croire que j’étais une nymphonane, une putain, etc. Les troupes de danse auxquelles j’ai fait partie, étaient composées presqu’uniquement de filles. Lorsqu’il y avait des gars, ils  s’ajoutaient vers la fin, peu de temps avant le spectacle qui allait avoir lieu.

(Pendant que j’écrivais, et que j’étais assise tranquille devant mon ordinateur, il ne pouvait pas s’empêcher de me rentrer son rayon de micro-ondes d’environ 10cm de diamètre dans le vagin pour encore me brûler les organes génitaux et avoir une porte d’entrée pour me brûler l’intérieur du corps).

Copyright, France Quenneville.

P.S. Le ventriloque,  hacker a enlevé des mots et des phrases que j’avais écrites.




Roman ( Thriller) Par France Quenneville , Samedi le 27 avril 2013

vendredi 17 février 2012

Torture électronique: gros rayon laser

Torture électronique: L’énorme rayon laser

17 février 2012: 1h30

France est assise à la cuisine après s’être réveillée en catastrophe. Elle écrit ce qui vient de se passer ainsi que son dialogue avec l’imposteur du Voice-to-Skull.

Elle écrit:

Torture passive ou automatisée
CEM  très fort
Hautes tensions à  70,000 volts
Scanner sous moi et en arrière de moi
Micro-ondes en diffusion sous moi
Micro-ondes en diffusion à l’intérieur de moi
Laser en diffusion sous moi
Torture active
Empalage au gros rayon laser et micro-ondes via le vagin
Empalage au rayons laser dans la tête
Empalage inter-discal dans la colonne au laser
Filons électriques injectés partout avec les rayons laser
Énorme rayon laser (50cm de diamètre) dirigé sur moi
Ajouts d’aiguilles piquantes (corps rempli depuis la veille)

Dialogue

L’imposteur -  On essaie de te désintégrer les organes génitaux. Michel m’a dit de ne pas te dire ce qu’on fait.

L’imposteur - On t’a mis avant des filons électriques un peu partout.

L’imposteur - On veut te faire le plus de mal possible parce que t’es une pédophile!

C’était une projection de ce pédophile qui l’avait violée jeune enfant à son insu parce qu’il l’avait hypnotisée. Ensuite, il employait ce rituel à chaque fois qu’il voulait satisfaire ses fantasmes sexuels en l’utilisant à son insu.

Il a essayé de me faire croire que c’était René qui voulait me rentrer l’énorme rayon laser via le vagin pour me désintégrer l’intérieur du corps. Ils me l’ont mis sur le bas du dos pour me désintégrer la colonne lombaire.

L’imposteur - On veut te désintégrer les reins pour que  tu meurs intoxiquée.

L’imposteur - On veut pas te faire ça. C’est Gaston (Gaétan) qui veut le faire lui-même parce qu’on ne veut pas le faire.

France - Non! Vous êtes tous des gars armés. Et, vous le laissez faire... C’est que ça fait votre affaire!

Partout où il y avait des filons électriques, ça lui faisait très mal. Ça lui brûlait fortement et elle prenait des chocs électriques. Elle avait très mal au dos en même temps qu’elle ressentait une pression d’environ 40 cm de diamètres lui pousser dans les reins. Elle ressentait aussi une douleur et une pression dans le vagin. C’était un autre  gros rayon qui l’empalait dans cette région. Elle en avait la nausée. Et, ça l’avait réveillé en même temps que toutes les autres douleurs. Elle s’était endormie tout de suite après s’être couchée parce que l’imposteur l’avait hypnotisée, comme d’habitude, avant qu’ils se mettent à la torturer.

Ils étaient au moins 4 gars du côté ouest incluant l’imposteur. Du côté nord, de l’autre côté du mur, il semble que c’était Gaston qui manipulait l’énorme laser pour désintégrer France. Il était accompagné de Marie.  Et, ils regardaient tous le spectacle sur leur écran d’ordinateur n’ayant jamais levé le petit doigt pour lui venir en aide. C’était l’imposteur qui avait commandé ces sévices afin de satisfaire ses fantasmes pervers sadiques de psychopathe, obsédé sexuel et pédophile en administrant cette torture à France.

L’imposteur - On t’a défoncé le vagin avant-hier avec l’énorme rayon laser pour aller te désintégrer l’utérus.

L’imposteur (parlant de Michel) - Il capote, France...

France - Non! Je n’accepte pas ça. Je n’accepte aucun «Je capote!» parce que vous êtes tous là à regarder le spectacle comme une gang de sadiques.

L’imposteur (feignant les remords) - Qu’est-ce qu’on a été faire là!...

L’imposteur (parlant de Gaston) - Il est en train de t’enlever tout l’intérieur de ton ventre...

France (en colère) - Est-ce que j’ai oublié d’écrire quelque chose?

L’imposteur (à voix basse) - Oui, tu as oublié ce qu’on t’as fait la nuit dernière. C’est un gros trou France. Il t’avais mis quelque chose pour boucher ça. Ça coule tout le temps... On t’a pas mis un bouchon parce que ça coulait mais pour ne pas que quelque chose entre dedans... Il est malade, Gaston!

France (toujours fâchée) - Pas juste Gaston! Vous, vous êtes là et vous ne faites rien!

René (gêné) - Tabarbac, France... J’ai honte...

Puis, tout-à-coup, France ressentait la pression et la douleur d’un petit rayon rentrer dans son rectum.

France - Et, puis! C’est qui qui me rentre ça là? En ce moment?

L’imposteur (gêné) - J’ai honte, France. Moi aussi, j’ai honte.

France (exaspérée) - Non! Je n’accepte pas vos «J’ai honte». Vous êtes toujours là en train de regarder le spectacle! Gang de pervers!

L’imposteur (à voix basse)- Michel dit que tu n’as pas parlé de lui. Il capote! Il veut que tu le saches. Je te le dis même si Gaston ne veut pas que je le dise. Je ne veux pas qu’il me fasse mal parce que je te l’ai dit. Il a dit que si on le disait, il nous ferait...

France - Non! C’est pas à moi qu’il faut le dire. C’est à la police ou aux anges de l’enfer pour qu’ils l’arrêtent et que vous arrêtiez.

L’imposteur - France, ça n’a pas d’allure, C,est pour ça qu’on a décharné les muscles l’intérieur de tes fesses. On voulait te rentrer ct’estie de gros rayon là.

Michel (voix au loin) - Pas juste ça! C’est pour ça qu’on t’a gonflé le ventre au laser pis que t’avais mal. On te l’a décharné. C’était pour ça!

L’imposteur (répétant ce que Michel venait de dire) - Pas juste ça! C’est pour ça qu’on t’a gonflé le ventre au laser pis que t’avais mal. On te l’a décharné. C’était pour ça!

L’imposteur (piteux) - J’en reviens pas, c’est moé qui l’a commandé.

France (fachée) - C’est surtout toi qui l’a laissé faire en même temps que tous les autres.

L’imposteur ( ) - France, c’est pour ça que je ne voulais pas que tu ailles te coucher...

France (lui coupant la parole) - Non! Menteur! Pourquoi tu m’as hypnotisées, d’abord?

L’imposteur (calmement) - Parce que j’avais peur de lui... Pas d’allure! Je voulais pas qu’il me fasse des affaires comme à toé.

France (très en colère) - Combien vous êtes, vous autres? Vous êtes tous armés jusqu’aux dents...pis lui, c’est un gros pervers alcoolique. Qu’est-ce que vous attendez pour le neutraliser, ce fou-là. Pourquoi vous lui faites pas ce que vous me faites à moi? Hein? Vous êtes rien qu’une gang de pervers vous autres aussi. Vous vous délectez! Vous jouissez! Vous espériez me voir jouir avec cet énorme rayon que vous fantasmiez être votre pénis en format géant... Rien qu’une gang de pervers!

L’imposteur (froidement) - C’est vrai que c’est ça, France.

L’imposteur (froidement) - Michel...c’est vrai qu’il capote, France. Il est parti manger pis...

France (stupéfaite) - Parti manger!!!

René (feignant les remords)- J’en reviens pas, France.

France - Ah, oui?

René (calmement, feignant les remords) - J’en reviens pas, France. J’en reviens pas que j’ai rien fait, France.

France - Ah, oui? «J’en reviens pas...» T’en reviens pas t’avoir rien fait... Pis, t’es encore là... Comment ça se fait que tu ne fais encore rien? Hein?

René (feignant les remords) - J’en reviens pas qu’est-ce qu’on lui fait, cette fille-là?
L’imposteur (d’une voix basse) - On est à bout, France. Pis, c’est moi qui avait commandé ça...

France (fachée et se moquant) - On est à bout?... Ah, oui. C’est ça! On s’est rendu jusqu’au bout, là on est fatigué... Est-ce que tu t’es masturbé la-dessus? T’as dû jouir toute la semaine, en plus?

L’imposteur - Oui. C’est vrai que je l’ai fait en pensant à ça.

Michel (voix au loin) - En plus, il dit ça, lui.

Pendant ce temps, on entendais un bruit de fond de moteur en marche. Puis, les hautes tensions envahissaient France tel un étau d’électricité. Elle avait mal à la tête et son corps ondulait de  nausées qui allaient et venaient. Des portions de froid incluant des aiguilles piquantes revolaient sur France. C’était Marie qui enduisait son corps d’aiguilles piquantes. Celui-ci en était déjà plein, surtout aux organes génitaux.

Etc. Etc.

France Quenneville, 17 février 2012.

mercredi 18 janvier 2012

Fabrique de faux parias de la société

Il y a deux manières de faire bouger les masses, c'est en faisant peur aux gens et en leur parlant de sexe. C'est aussi la meilleure façon de les manipuler. Dans le Gang Stalking, certains "perps" qui se prennent pour des justiciers semblent avoir infiltré le crime organisé pour avoir accès à leur protection, à tout leur attirail ainsi qu'aux individus ciblés.

Ceux-ci font croire au monde qu'ils font de la vraie justice et font passer les individus ciblés pour des parias de la société, entre autres pour des pédophiles. Ensuite, ils les harcèlent et les torturent, voire les éliminent de la "map". En plus, ils semblent avoir la permission de la communauté. Cette dernière est prête à faire du harcèlement en croyant faire une bonne action citoyenne. Et, étant donné que tous les citoyens sont alertés, les pervers eux se réveillent en pensant trouver pire qu'eux dans ces prétendus parias pris à partie. Alors, ils projettent leur mépris d'eux-mêmes sur ces innocentes victimes afin de soulager leur conscience et se trouver plus fins qu'eux...

(suite...) http://francequenneville.blogspot.com/2010/11/fabrique-de-faux-parias-de-la-societe.html

mardi 10 janvier 2012

C’est triste à voir...tant de souffrances inutiles.

C’est triste à voir... des êtres pleins de talents gaspiller leur énergie à tuer la vie.
C’est triste à voir... des jeunes remplis d’espoir s’auto-détruire en essayant de détruire les autres.
C’est triste à voir... des jeunes qui s’amusent à torturer le monde comme s’ils étaient les avatars dans un jeu vidéo.
C’est triste à voir... des jeunes qui ont quelque chose à dire mais qui se taisent sur les vraies affaires pour ne dire que des mots destructeurs ou mensongers.
C’est triste à voir... que l’objectif de ces jeunes est de détruire tout ce qui est beau, bon et bien.
C’est triste de voir... qu’ils essaient de se convaincre que ce qu’ils font c’est pour le mieux.
C’est de les voir... tous ensembles à déverser leur haine parce qu’ils n’ont rien d’autre pour se faire payer.
C’est triste à voir... que ces jeunes sont aussi la proie de leurs propres clients.
C’est triste à voir... qu’ils sont comme des rats affamés se disputant les morceaux d’une proie en fin de vie.
C’est triste de voir... toutes ces personnes qui travaillent avec acharnement pour aider les autres et se faire ainsi détruire par une volée de beaux moineaux qui prennent tout pour de simples graines à manger.
C’est triste de voir... qu’à chaque jour comme des vautours, ils attendent juste le moment de sévir, chacun leur tour, quand ce ne sont pas tous à la fois.
C’est triste de voir... qu’en plus, ils se disent: «Non, non. Ce n’est pas vrai tout ça!».
C’est bien triste à voir... qu’ils croient tous ces faussaires de l’holocauste humain pour pouvoir faire leur petit train-train de pollueurs et de destructeurs.
C’est bien triste... car au fond, ils ne demandaient qu’à vivre la vie au lieu de la jouer en faisant semblant.
C’est bien triste de tout voir ça... et d’essayer de dire tout ce qu’il faut pour éveiller leur coeur et leur conscience, mais sans succès.
C’est bien triste de voir... qu’ils sont le futur gibier de potence de ces quelques uns qui se croient plus que tout le monde.
C’est bien triste... et ce n’est pas possible que tout cela nous arrive à tous, pas en même temps, mais à tous quand même.
C’est surtout triste de voir... l’espoir envolé de tous ces innocents ciblés n’attendre que leur tour pour finalement mourir après tant de souffrances inutiles.
C’est vraiment triste à voir.

© Copyrignt, France Quenneville, 17 octobre, 2010.