Pendant mon sommeil on a introduit des scènes érotiques pour tenter de me faire agir d’une certaine manière et me faire dire ce qu’ils voulaient me faire dire selon le portrait qu’ils ont dessiné pour moi. De cette manière, ils peuvent tout enregistrer ce qui se passe dans mon rêve sur audio-vidéo et réaliser des truquages pour me nuire. Et, une fois les paroles mises dans ma bouche durant mon sommeil, ils réagissent en me réveillant brutalement par une attaque avec les armes électromagnétiques comme s’ils me punissaient d,avoir fait quelque chose de répréhensible. En fait, ce n’était qu’un prétexte servant à les stimuler à me faire du mal. Pierre, Marie, Gaston et Victor sont les noms qu’ils utilisent avec moi. Disons Pierre l’imposteur, celui qui parle avec moi via le V2K ( Voice to skull) utilise ces noms pour désigner mes harceleurs ainsi que lui-même.
Mardi, le 22 février, 3h15.
Pierre, l’imposteur: - «Le gars d'à côté, Victor Lalouk est en train de te désintégrer avec un «gun» à micro-ondes à 100 Ghz, 25, 999 uw/cm2.»
3 heures du matin...
Je dormais quand tout à coup, j’ai été réveillé par un gros rayon de micro-ondes très très fortes comme jamais qui envahissait douloureusement tout mon corps. Mes acouphènes étaient très, très fortes.
Je venais de faire un rêve provoqué dans lequel Marie, la fille, disait à ma place à un jeune homme, que j’avais rêvé que je faisais l’amour avec lui. Dans le rêve, j’étais toute jeune comme le gars mais je n’avais rien dit ni fait de tout cela.
Je savais donc que c’était Marie qui s’était introduit dans mon rêve parce que rien n’était vrai. Je n’avais pas fait l’amour avec le gars, ni rêvé à cela d’ailleurs. Et, je n’ai pas l’habitude de mentir, encore moins en rêve. Mais, elle oui. Elle a l’habitude d’essayer de me faire faire les choses qui proviennent de ses propres fantasmes. Mais, je ne marche jamais dans son jeu car ce n’est pas ma façon d’agir habituelle.
Je croyais qu’ils voulaient, Marie, Gaston, Pierre, inciter l’extrémiste d’à côté à me faire du mal et même à me faire tuer par lui en mettant des paroles dans ma bouche qui le stimuleraient.
Le dialogue se poursuivait ainsi:
L'imposteur: - «Il est en train de te tuer!, France.»
Moi - «Puis toi, tu reste là!... À me regarder!»
Pierre, l'imposteur: - « Je ne peux rien y faire, France.»
Après quelques minutes...
Pierre, l’imposteur: - «Je suis d’accord avec eux autres. Tu sais trop de choses.»
4h18
Mais, j’ai réalisé que c’était plutôt Gaston qui semblait mettre les micro-ondes à cette si haute fréquence. Et, je ressentais qu’ils essayaient de me faire croire que c’était le gars d’à côté qui utilisait ce prétexte pour me faire mal. Mais, je les entendais parler sans comprendre ce qu’ils disaient. C’était Gaston et Marie qui étaient encore en train d’argumenter comme s’ils étaient dans la pièce d’à côté, hez la voisine. Une mise en scène enregistrée qu’ils passaient dans le «Voice to skull»? Sûrement! Car, ce que j’entendais semblais être exactement la même chose que d’habitude.
La fréquence des micro-ondes était tellement forte que l’effet sur mon corps était très violent. J’ai même eu de la misère à marcher pour me rendre à la cuisine. J’avais très mal à une oreille et mon corps semblait être tout enveloppé par un gros rayon très douloureux. Je pouvais ressentir sa vibration très forte ainsi que mon corps se dessécher. Mon oeil droit était aussi très douloureux et très sec.
4h26
J’étais allée chercher ma caméra pour filmer et enregistrer la scène. Mais, voyant cela, ils avaient baissé la fréquence. Ils avaient mis plutôt le laser interne très fort. Ça me brûlait l’intérieur du corps et ça me faisait très mal. Après quelques minutes, ils ont encore augmenté la fréquence. Mais, ils l’ont baissé encore une fois peu de temps après lorsqu’ils s’étaient aperçus que je les enregistrais. Ils ont ainsi poursuivi l’enregistrement du scénario de la chicane entre Gaston et Marie. Puis, ils ont commencé à m’empaler avec des rayons laser un peu partout sur le corps.
Alors, j’ écrivais et me parlais à moi-même en me disant: «La scène de chicane sert à me faire croire que la fille ne veut pas me faire du mal et que l'autre la force à le faire. Mais, c'est faux! », je le savais.
L’imposteur écoutant tout ce que je me disais et voyant ce que j’écrivais sur internet, a tenté de me convaincre que tout ce que je pensais était faux parce qu’il constatait que je les avais démasqué.
Pierre, l’imposteur - «Je t’ai menti, France.
Pousuivant...
Pierre, l’imposteur - « Je ne suis pas d’accord avec ce qu’ils te font.»
Et, voyant que je dévoilais au monde sur internet que Marie feignait celle qui était forcée, Pierre a tenté de la protéger.
Pierre, l’imposteur - «Je t’ai encore menti France. Ce n’est pas elle qui essayait de te mettre des choses dans tes rêves. C’est Gaston!». Pourtant, il savait que j’étais au courant que c’était Marie qui avait l’habitude d’imposer ses fantasmes à mon esprit. Mais, comme d’habitude, il s’essayait.
Moi - «Tu essaies encore de la protéger.»
Se parlant à lui-même mais assez fort pour que je l’entende vis le V2K:
Pierre, l’imposteur - «Elle ne me crois pas.»
Pendant que j’écrivais ces lignes, il disait:
Pierre, l’imposteur - «Je capote.»
Je ne me rappelais pas la raison qu’il m’avait donné en excuse pour m’avoir dit qu’il était d’accord lorsqu’ils me faisaient très mal.
Moi - «C’était quoi ta raison déjà?»
Pierre, l’imposteur - «Je n’ai pas fait exprès, France.»
5h17
L’enregistrement du scénario de la chicane entre Marie et Gaston jouait toujours.
5h30
Ils ont remis les micro-ondes en suspension dans l’air à une très haute fréquence.
Je ne sais pas à quel jeu ils jouaient, mais ils ont réussi à me faire lever à cause de la douleur. Puis, je suis allée écrire. De plus, j’essayais d’enregistrer le bruit et la vibration des micro-ondes à cette intensité avec mon enregistreuse mécanique mais elle ne fonctionnait pas vraiment. Elle enregistrait que quelques secondes à la fois puis s’arrêtait.
Pierre, l’imposteur - «Non, France. Ils voulaient te faire peur en te faisant croire qu’ils essayaient de te tuer.»
L’imposteur m’entendant penser à partir de son logiciel sur son ordinateur et m’ayant aussi vu manipuler mon enregistreuse, passa son commentaire.
Pierre, l’imposteur - «Ils ont brisé ton enregistreuse depuis longtemps. C’est pour cela qu’ils capotent lorsque ça fonctionne.» Ce n’était pas censé fonctionner du tout.
En tout cas, ils voulaient me réveiller bien comme il faut. Cela s’est passé exactement à l’heure de pointe de ces bourreaux: 3 heures du matin. Et, pendant que j’écrivais, ils continuaient à m’empaler tandis que moi, je passais le petit miroir pour couper les rayons.
5 h50
Pierre, l’imposteur: - «C’est vrai, France. Ils ont mis les micro-ondes parce que tu as dis dans ton rêve que tu avais fait l’amour avec le gars.»
Moi, choquée: - «Ce n’est pas moi qui a dit ça. Car, je ne dis pas des choses que je sais être fausses.»
Pierre, l’imposteur avoua: - «C’est vrai. C’est moi qui a dit ça.»
Il a l’habitude d’essayer de mettre des mots dans ma bouche, en guise d’auto-suggestion, pour que je les capte et les prononce. C’est l’une de ses tâches. Finalement, c’est moi qui a l’air de dire et de penser ces choses qui ne m’appartiennent pas. Il agit dans cette situation comme un souffleur de mots en coulisse d’une scène de théâtre.
Sur internet, plus particulièrement sur «Twitter», j’ai écrit: «J'ai trouvé que cette scène serait intéressante à titre d'exemple de manipulation de l'esprit avec les armes psychotroniques.»
Le temps passant, je me suis étirée. Et, Pierre voyant les gestes que je faisais se parlait à lui-même.
Pierre, l’imposteur: - « Elle s’étire... Ils capotent!»
Poursuivant...
Pierre, l’imposteur: - «Tu ne devrais pas t’étirer comme ça, tu vas casser.»
Moi: - « Veux-tu bien!», exaspérée de ses intrusions.
7 h 07
La tête me faisait très mal et le corps me brûlait toujours.
Mardi, le 22 février, 3h15.
Pierre, l’imposteur: - «Le gars d'à côté, Victor Lalouk est en train de te désintégrer avec un «gun» à micro-ondes à 100 Ghz, 25, 999 uw/cm2.»
3 heures du matin...
Je dormais quand tout à coup, j’ai été réveillé par un gros rayon de micro-ondes très très fortes comme jamais qui envahissait douloureusement tout mon corps. Mes acouphènes étaient très, très fortes.
Je venais de faire un rêve provoqué dans lequel Marie, la fille, disait à ma place à un jeune homme, que j’avais rêvé que je faisais l’amour avec lui. Dans le rêve, j’étais toute jeune comme le gars mais je n’avais rien dit ni fait de tout cela.
Je savais donc que c’était Marie qui s’était introduit dans mon rêve parce que rien n’était vrai. Je n’avais pas fait l’amour avec le gars, ni rêvé à cela d’ailleurs. Et, je n’ai pas l’habitude de mentir, encore moins en rêve. Mais, elle oui. Elle a l’habitude d’essayer de me faire faire les choses qui proviennent de ses propres fantasmes. Mais, je ne marche jamais dans son jeu car ce n’est pas ma façon d’agir habituelle.
Je croyais qu’ils voulaient, Marie, Gaston, Pierre, inciter l’extrémiste d’à côté à me faire du mal et même à me faire tuer par lui en mettant des paroles dans ma bouche qui le stimuleraient.
Le dialogue se poursuivait ainsi:
L'imposteur: - «Il est en train de te tuer!, France.»
Moi - «Puis toi, tu reste là!... À me regarder!»
Pierre, l'imposteur: - « Je ne peux rien y faire, France.»
Après quelques minutes...
Pierre, l’imposteur: - «Je suis d’accord avec eux autres. Tu sais trop de choses.»
4h18
Mais, j’ai réalisé que c’était plutôt Gaston qui semblait mettre les micro-ondes à cette si haute fréquence. Et, je ressentais qu’ils essayaient de me faire croire que c’était le gars d’à côté qui utilisait ce prétexte pour me faire mal. Mais, je les entendais parler sans comprendre ce qu’ils disaient. C’était Gaston et Marie qui étaient encore en train d’argumenter comme s’ils étaient dans la pièce d’à côté, hez la voisine. Une mise en scène enregistrée qu’ils passaient dans le «Voice to skull»? Sûrement! Car, ce que j’entendais semblais être exactement la même chose que d’habitude.
La fréquence des micro-ondes était tellement forte que l’effet sur mon corps était très violent. J’ai même eu de la misère à marcher pour me rendre à la cuisine. J’avais très mal à une oreille et mon corps semblait être tout enveloppé par un gros rayon très douloureux. Je pouvais ressentir sa vibration très forte ainsi que mon corps se dessécher. Mon oeil droit était aussi très douloureux et très sec.
4h26
J’étais allée chercher ma caméra pour filmer et enregistrer la scène. Mais, voyant cela, ils avaient baissé la fréquence. Ils avaient mis plutôt le laser interne très fort. Ça me brûlait l’intérieur du corps et ça me faisait très mal. Après quelques minutes, ils ont encore augmenté la fréquence. Mais, ils l’ont baissé encore une fois peu de temps après lorsqu’ils s’étaient aperçus que je les enregistrais. Ils ont ainsi poursuivi l’enregistrement du scénario de la chicane entre Gaston et Marie. Puis, ils ont commencé à m’empaler avec des rayons laser un peu partout sur le corps.
Alors, j’ écrivais et me parlais à moi-même en me disant: «La scène de chicane sert à me faire croire que la fille ne veut pas me faire du mal et que l'autre la force à le faire. Mais, c'est faux! », je le savais.
L’imposteur écoutant tout ce que je me disais et voyant ce que j’écrivais sur internet, a tenté de me convaincre que tout ce que je pensais était faux parce qu’il constatait que je les avais démasqué.
Pierre, l’imposteur - «Je t’ai menti, France.
Pousuivant...
Pierre, l’imposteur - « Je ne suis pas d’accord avec ce qu’ils te font.»
Et, voyant que je dévoilais au monde sur internet que Marie feignait celle qui était forcée, Pierre a tenté de la protéger.
Pierre, l’imposteur - «Je t’ai encore menti France. Ce n’est pas elle qui essayait de te mettre des choses dans tes rêves. C’est Gaston!». Pourtant, il savait que j’étais au courant que c’était Marie qui avait l’habitude d’imposer ses fantasmes à mon esprit. Mais, comme d’habitude, il s’essayait.
Moi - «Tu essaies encore de la protéger.»
Se parlant à lui-même mais assez fort pour que je l’entende vis le V2K:
Pierre, l’imposteur - «Elle ne me crois pas.»
Pendant que j’écrivais ces lignes, il disait:
Pierre, l’imposteur - «Je capote.»
Je ne me rappelais pas la raison qu’il m’avait donné en excuse pour m’avoir dit qu’il était d’accord lorsqu’ils me faisaient très mal.
Moi - «C’était quoi ta raison déjà?»
Pierre, l’imposteur - «Je n’ai pas fait exprès, France.»
5h17
L’enregistrement du scénario de la chicane entre Marie et Gaston jouait toujours.
5h30
Ils ont remis les micro-ondes en suspension dans l’air à une très haute fréquence.
Je ne sais pas à quel jeu ils jouaient, mais ils ont réussi à me faire lever à cause de la douleur. Puis, je suis allée écrire. De plus, j’essayais d’enregistrer le bruit et la vibration des micro-ondes à cette intensité avec mon enregistreuse mécanique mais elle ne fonctionnait pas vraiment. Elle enregistrait que quelques secondes à la fois puis s’arrêtait.
Pierre, l’imposteur - «Non, France. Ils voulaient te faire peur en te faisant croire qu’ils essayaient de te tuer.»
L’imposteur m’entendant penser à partir de son logiciel sur son ordinateur et m’ayant aussi vu manipuler mon enregistreuse, passa son commentaire.
Pierre, l’imposteur - «Ils ont brisé ton enregistreuse depuis longtemps. C’est pour cela qu’ils capotent lorsque ça fonctionne.» Ce n’était pas censé fonctionner du tout.
En tout cas, ils voulaient me réveiller bien comme il faut. Cela s’est passé exactement à l’heure de pointe de ces bourreaux: 3 heures du matin. Et, pendant que j’écrivais, ils continuaient à m’empaler tandis que moi, je passais le petit miroir pour couper les rayons.
5 h50
Pierre, l’imposteur: - «C’est vrai, France. Ils ont mis les micro-ondes parce que tu as dis dans ton rêve que tu avais fait l’amour avec le gars.»
Moi, choquée: - «Ce n’est pas moi qui a dit ça. Car, je ne dis pas des choses que je sais être fausses.»
Pierre, l’imposteur avoua: - «C’est vrai. C’est moi qui a dit ça.»
Il a l’habitude d’essayer de mettre des mots dans ma bouche, en guise d’auto-suggestion, pour que je les capte et les prononce. C’est l’une de ses tâches. Finalement, c’est moi qui a l’air de dire et de penser ces choses qui ne m’appartiennent pas. Il agit dans cette situation comme un souffleur de mots en coulisse d’une scène de théâtre.
Sur internet, plus particulièrement sur «Twitter», j’ai écrit: «J'ai trouvé que cette scène serait intéressante à titre d'exemple de manipulation de l'esprit avec les armes psychotroniques.»
Le temps passant, je me suis étirée. Et, Pierre voyant les gestes que je faisais se parlait à lui-même.
Pierre, l’imposteur: - « Elle s’étire... Ils capotent!»
Poursuivant...
Pierre, l’imposteur: - «Tu ne devrais pas t’étirer comme ça, tu vas casser.»
Moi: - « Veux-tu bien!», exaspérée de ses intrusions.
7 h 07
La tête me faisait très mal et le corps me brûlait toujours.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire